L’afficheur du récepteur de télévision a longtemps été un tube cathodique.
Aujourd’hui, ce tube a été remplacé par des panneaux LCD ou des panneaux PLASMA, ce qui permet de réduire considérablement l’écran en termes d’épaisseur.
Moins encombrants, ces types de téléviseurs sont beaucoup plus design.
Ces deux types d’écran sont plats et larges, mais ils présentent chacun des avantages et des inconvénients.
En effet, la technologie LCD (Liquid Crystal Display), filtre la lumière, et est composé de deux plaques parallèles transparentes. Entre ces deux plaques, des cristaux liquides sont placés afin de produire ce qu’on appelle des pixels. La technologie LCD est recommandée, si vous un amateur de jeux vidéos, car lorsqu’une image statique reste trop longtemps à l’écran, l’effet de « brulure » peut apparaître, et donc les pixels peuvent être endommagé.
De plus, contrairement aux écrans Plasma, les écrans LCD, ne réfléchissent pas la lumière extérieure.
La durée de vie d’un écran LCD est généralement plus longue que celle d’un écran Plasma, et en termes de consommation électrique, une fois de plus, la technologie LCD est plus avantageuse car elle permet de consommer jusqu'à 20% de moins que la technologie Plasma.
Pourtant, la technologie Plasma connaît un véritable succès actuellement, car la qualité d’images est réelle, et la matrice de couleurs est très importante (elle peut aller jusqu'à 25.7 milliards couleurs). Le principe de la technologie Plasma est basé sur l’excitation d’un gaz, qui permet d’émettre de la lumière.
De plus, la réactivité de l’écran, ainsi que la luminosité se sont nettement amélioré car chaque pixel est contrôlé de manière individuelle par un appareil spécifique.
Enfin, sachez qu’en termes de prix, les écrans plasma sont de manière générale, plus chers que les écrans LCD, même si l’écart de prix a tendance à diminuer depuis peu. Les technologies Plasma et LCD, font partie des deux technologies les plus connues et les plus appréciées du public, et pourtant il existe un autre type d’écran appelé le rétroprojecteur.
Le rétroprojecteur, est un autre type de téléviseur, qui existe depuis de nombreuses années maintenant, et qui restitue l’image d’un film par un système de miroirs et de lampes. Ces appareils à rétroprojection ont un bon rapport qualité prix de manière générale (entre 1700 et 3000 euros), et sont facile d’utilisation. De plus, la luminosité et la qualité de l’image sont meilleures, par rapport aux dernières générations de ce type d’appareils.
La technologie DLP (Digital Light Processing), est une technologie d’affichage numérique, permettant d’obtenir une image vidéo de très grande qualité, nette et détaillée. Si vous décidez d’opter pour un rétroprojecteur, avant de l’installer il est indispensable de connaître l’espace dont vous disposez, car cet appareil reste assez encombrant, même si des progrès ont été réalisées dans ce sens.
En résumé, chaque type d’écran à ses avantages : La technologie LCD consomme moins d’électricité, mais le plasma permet d’obtenir une meilleure, ce que les cinéphiles apprécieront tout particulièrement. Quelque soit votre choix, plasma, LCD, ou Rétroprojecteur, il est recommandé de choisir un modèle HD, afin de pouvoir bénéficier de cette nouvelle technologie, très prochainement.
La technologie HD s’annonce comme une innovation révolutionnaire, qui permettra aux téléspectateurs de voir leur qualité d’image, et de son, s’améliorer très fortement. La netteté de l’image en Haute Définition, est beaucoup plus importante, que l’image de définition « standard ».
Petit à petit, les chaines commencent à adopter cette nouvelle technologie, il est donc conseillé de s’équiper d’un téléviseur doté de la HD, afin de pouvoir en profiter pleinement dans les années à venir. SAMSUNG : Géant sur le marché mondial des téléviseurs
Cette entreprise sud-coréenne, s’est développée au fil des années, pour devenir le leader mondial de l’électronique, et du numérique. Les produits que la marque propose sont innovants et de très grande qualité.
Samsung se projette dans le futur, et trouve les solutions nécessaires pour répondre aux besoins de sa future clientèle.
L’innovation et la créativité doivent faire partie des caractéristiques d’une entreprise, c’est ce qui lui permettra d’assurer son avenir, et d’anticiper les besoins des consommateurs. La société Samsung, a intégrer ce principe dans ces méthodes de travail, et c’est pour cela que son succès sur le marché des téléviseurs est indiscutable.
En effet, Samsung, détient plus de 12% de part de marché dans le domaine des téléviseurs, et se montre de plus en plus innovante au fil du temps.
Les téléviseurs que cette marque propose ont toujours une longueur d’avance, que ce soit en termes de technologie ou de design.
Ils doivent leur succès à l’investissement octroyé au domaine de la recherche et du développement, qui a pour objectif de proposer des nouveautés de plus en plus sophistiquées à leur future clientèle.
Une de ces dernières innovations, s’appelle le téléviseur LCD série 8, qui fait partie des téléviseurs les plus fins du monde (gamme Slim).
Ce téléviseur ultra-fin, mesure 102 centimètres en diagonale, et 1cm en profondeur ! C’est le téléviseur le plus fin du monde, à ce jour.
Les téléviseurs à tube cathodique perdent chaque année des parts de marché, alors que les écrans plasma, ou LCD gagnent du terrain petit à petit.
La concurrence est rude sur le marché mondial des téléviseurs, mais Samsung a su s’imposer, même par rapport à la grande marque LG Electonics, qui détient environ 11% de parts de marché, soit 1% de moins que Samsung.
Pourtant, même si Samsung conserve sa place de leader mondial sur le marché des téléviseurs, ses principaux concurrents, se livrent à une course effrénée afin de présenter des téléviseurs encore plus performants, et encore plus design.
C’est une course à l’innovation, qui demande beaucoup de recherches, et de créativité.
Grâce aux fonctionnalités du PVR, les abonnés de CANALSAT HORIZONS pourront désormais contrôler leurs programmes en direct avec entre autres la possibilité de suspendre momentanément la retransmission d’un programme en direct. Ils auront également la possibilité d’enregistrer jusqu’à 120 heures de programmes tout en regardant une autre chaîne et de se constituer ainsi une véritable vidéothèque de programmes.
Grâce à cette innovation, CANAL OVERSEAS AFRICA permet aux abonnés de CANALSAT HORIZONS de bénéficier d’une plus grande liberté et souplesse dans la consommation de leurs programmes. Ils profiteront ainsi pleinement de leur abonnement CANALSAT HORIZONS.
Jean-Noël Tronc, Président Directeur Général de CANAL OVERSEAS AFRICA, déclare : « Le lancement du PVR témoigne de notre volonté d’apporter toujours plus de services et d’innovations à nos abonnés de CANALSAT HORIZONS. En démontrant notre avancée en termes de nouvelles technologies, nous réaffirmons notre positionnement d’acteur audiovisuel majeur sur le continent africain. » »
Accéder à la HD chez CANALSAT : un vrai parcours du combattant !
Récit d'une expérience vécue.
"En cette période de Noël, nombreux vont être cette année encore les achats de téléviseurs LCD ou Plasma et vous allez être très nombreux à vouloir profiter de la Haute Définition. CANALSAT communique largement à ce sujet, mais il faut savoir qu'accéder à la HD n'est pas si évident que cela...
Je vais vous relater ce que j'appelle mon « parcours du combattant » pour accéder à la Haute Définition chez CANALSAT. Possesseur d'un terminal « Pilotime », j'ai attendu bien patiemment que CANALSAT nous sorte son dernier né des terminaux : le « DUAL-S », qui permet tout comme le « Pilotime » de regarder une chaine et d'en enregistrer une autre (en HD pour ce nouveau terminal), de contrôler le direct.
Première étape, me renseigner au niveau de CANALSAT de la disponibilité du « DUAL-S », connaître les modalités d'échange, le coût, ainsi que la façon d'obtenir le disque dur externe (qui doit être certifié CANALSAT) à brancher sur le terminal afin de pouvoir enregistrer les programmes. Et c'est là que l'aventure commence !
La « Hot-Line » de CANALSAT est quasiment injoignable. Vous êtes facturé 34 centimes d'euros la minute, soit 2.23 Francs la minute et vous payez bien entendu le temps d'attente... Sympa... Donc, j'ai « patienté » environ 15 minutes, ce qui m'a coûté 5 euros 10 (33.45 Francs) pour finalement n'obtenir personne en ligne ! A ce sujet, sachez qu'il existe une astuce pour éviter de vous faire plumer : Appelez le siège social et demandez à être mis en relation avec le service client...
On va vous orienter vers le numéro surtaxé mais si vous indiquez que vous avez déjà perdu de l'argent en temps d'attente on vous mettra « gracieusement » en relation avec le service client sans surtaxe cette fois. Ce n'est pas pour autant que vous obtiendrez quelqu'un plus rapidement, car au bout de 25 minutes d'attente j'ai lâché prise !
Bref... Je décide de poursuivre : je veux la HD !! Alors je contacte le service client par mail. 5 jours après avoir formulé ma demande, toujours aucune réponse... Comme dirait Elie Sémoun : Merki ! Allez, je me décourage pas, si CANALSAT ne peut pas m'apporter de réponse je contacte un distributeur et mon choix se porte sur DARTY... Le distributeur connait bien le fameux terminal « DUAL-S » mais n'en a aucun de disponible. Ils sont livrés au « compte goutte » par CANALSAT et aucune réservation n'est possible.
En ce qui concerne le disque dur, on m'indique chez DARTY qu'ils n'en ont encore jamais vu un seul en magasin ! Un terminal censé enregistrer est donc disponible de temps en temps mais sans disque dur... Cherchez l'erreur...
Dernière tentative (et oui, je veux moi la HD ), je contacte un « petit revendeur » de ma ville à Pontoise. « Ah bon, CANALSAT a sorti un nouveau terminal ? L'opérateur nous donné aucune information à ce sujet »... Après une bonne matinée au téléphone, un peu comme Julien Courbet dans « Sans aucun doute », je me dis finalement que je vais abandonner mon idée de passer à la HD vu qu'il est impossible de s'y abonner.
CANALSAT perd donc un abonnement sur ce coup. Il faut savoir que ce « parcours du combattant », de nombreuses personnes en font les frais. De nombreuses personnes perdent de l'argent à tenter de joindre une « Hot Line » où la durée d'attente est facturée et ne tombe jamais (à quelques rares exceptions) en dessous de 5 minutes avant d'être mis en relation avec un conseiller clientèle qui, bien souvent, n'a même pas la réponse à votre question.
Bonne chance donc à tous ceux qui veulent passer en HD chez CANALSAT !"
CQFD ( source : les coulisses de la télévision)
Article publié dans telesatellite du mois de Décembre 2007
Le bouquet «Canal Sat/TPS» déverrouillé
d'après un quotidien algérien :
Des pirates cybernétiques ont découvert l’astuce pour mettre à nu les codes de sécurité extrêmement compliqués mis en place par Canal satellite...
L’ingéniosité de ce nouveau procédé de piratage a faussé toutes les cartes de la maison mère Canal Sat/TPS, entrée, les derniers mois, dans une véritable guerre contre les hackers. Est-ce la fin de la télévision numérique? Focus!
Saisissant cette rare opportunité, les commerçants oranais des démodulateurs numériques se sont reconvertis en «agents locaux» de Canal Sat offrant des abonnements annuels pour 6.000 DA, voire 10.000 DA. Les Oranais, férus de télévision numérique, marchent dans la combine.
On parle déjà d’engouement. La trouvaille serait infaillible cette fois-ci, relève-t-on des déclarations des commerçants du numérique qui ajoutent que même en France, où les lois anti-piratage sont draconiennes, on ne peut rien contre le «sharing».
En effet, depuis l’avènement de ce nouveau procédé de piratage, les responsables des bouquets cryptés de Canal Sat/TPS -d’habitude exubérants et loquaces- ont observé le silence alors qu’ils ont prôné, quelques mois auparavant, une guerre sans merci aux pirates qui tentent de décrypter leurs chaînes numériques.
Cette énième astuce est baptisée «sharing», qui veut dire partage en français.
Les pirates mettent leurs codes de décryptage emmagasinés dans les cartes officielles de Canal Sat, à la disposition des autres, via des serveurs sur Internet.
Ces serveurs transfèrent les codes des chaînes cryptées à des ordinateurs illimités connectés à ce serveur par l’intermédiaire d’une adresse NO IP ou DYNDNS, apprend-on.
Ces codes sont alors interceptés par le PC qui les envoie vers le démodulateur, le récepteur DVB (digital vidéo broadcasting) ou par carte satellite. Les plus connus des serveurs de partage sont nommés newcamd, xcrypte, xshareMission.
La communication entre le PC-récepteur ou le PC-carte satellite se fait par l’intermédiaire d’un logiciel spécifique, fourni avec un code secret personnel lors de la passation du contrat.
A Oran, des commerçants du numérique offrent des abonnements annuels pirates pour la bagatelle de 6.000 DA -au début, l’abonnement coûtait 10.000 DA/an-, alors qu’il faut débourser plus de 60.000 DA pour un abonnement officiel, soit dix fois plus. Les prix vont sûrement fléchir quand le procédé se vulgarisera davantage.
D’après le journal hebdomadaire Tunisie Hebdo, le serveur TUNISIA SAT commercialise ce genre de «service» à 10 dinars tunisiens /mois, soit 5,75 euros.
Les fournisseurs oranais déclarent qu’il faut «débourser plus de 100.000 DA de matos pour pouvoir partager les codes cryptés de Canal Sat via Internet: le programmateur numérique, l’abonnement officiel à Canal Sat, lecteur Cartes...» Ces fournisseurs se substituent donc à la maison mère, Canal Sat, pour vendre des abonnements, ce qui est bien sûr illégal.
Ces magasins sont ouverts sur les grands boulevards et de grandes affiches de cette nouveauté sont accrochées pour attirer le chaland. Le contrat entre le fournisseur pirate et le client est un contrat moral, aucun document ou autre n’est signé. De sorte, on parle déjà d’escroquerie. Il faut faire attention aux offres trop alléchantes.
Par ailleurs, la mise à jour des bouquets TPS des démodulateurs Starsat, Cristor et clones est disponible tous les deux jours sur les sites de partages de données, comme fourtoutici et funfiles. Les hackers, doués comme ils le sont, ont donc trouvé l’astuce pour contourner toute la sophistication du cryptage des codes de Canal Sat pour lequel la maison mère a déboursé des millions d’euros.
Et on peut dire qu’ils ont réussi leur coup en prouvant qu’il devient difficile, voire impossible, de contrecarrer ce procédé de partage, sharing. Quant au manque à gagner des maisons mères, il serait important... et on n’est qu’au début.
Benachour Med
Ceci est un article du site internet :
http://www.presse-dz.com/revue-de-pr...errouille.html
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